La 7ème édition de ce festival dédié à l’art vocal sous toutes ses formes (musique, théâtre et art du récit) retrouvait son cadre habituel de la grange batelière. Un festival conclu par un dimanche à la touche très « latino ».
Une balade vénézuélienne dans une forêt de la Chautagne.
C’est la dernière journée de la 7e édition du festival Voix d’Hautecombe.
Ce festival dont le Département de la Savoie est partenaire, offre une programmation éclectique autour de l’art vocal.
Interview : Frédéric Vérité, organisateur du festival.
« C’est à dire musique, art du récit, théâtre, donc on invite des comédiens, des acteurs, des conteurs selon les années, et évidemment toute une palette de musiciens, où la voix chantée va être évidemment présente. »
Live : musique
Interview : Frédéric Vérité, organisateur du festival.
« Je dirai aussi la particularité du festival est d’essayer de mélanger des grandes formes, comme le spectacle que l’on aura ce soir qui nécessite une logistique importante, et de petites formes légères qui permettent de s’insérer dans le site, d’utiliser tous les possibles. »
Autre ambiance, autre lieu avec du théâtre dans la Grange batelière de l’abbaye.
Un spectacle tiré du roman de Carole Martinez « Le cœur cousu » publié en 2008.
Le public a été touché.
Interview : Marie Françoise.
« J’avais lu le livre du cœur cousu et je trouve que l’interprétation de l’actrice est vraiment formidable, et puis c’est servi par un texte sur l’émancipation des femmes, alors, comme ça ! »
En fin de journée, et pour clore le festival, le guitariste Louis Winsberg a embarqué le public avec son groupe de flamenco.
Le guitariste a ce soir-là rendu hommage à un maître du genre, Paco de Lucia.
Un final en apothéose en attendant l’édition 2020 de ce festival qui n’hésite pas à mélanger les genres.