L'occupation des sols

La perte de surface des milieux naturels tels que les marais intérieurs, zones humides, glaciers, pelouses et forêts profite à l'urbanisation avec une forte augmentation du tissu urbain discontinu (zones d'habitation périphériques des agglomérations et agglomérations en zone rurale) et les autres milieux artificialisés qui progressent de 8 % entre 2006 et 2016. 

La perte de surface des milieux naturels (forêts, prairies, galciers) représentent l'équivalent de 3255 terrains de football d'une superficie de 10 800 mètres carrés.

Source : Régie de Gestion des Données, Conservatoire des espaces naturels de Savoie

Données calculées chaque année à partir de la couche occupation du sol à grande échelle de la Régie de gestion des données Savoie Mont Blanc 

Le développement des zones périphériques des agglomérations progressent plus vite que les autres milieux artificialisés (chantiers, zones industrielles, voies de communication) en 13 ans.

Source : Régie de Gestion des Données, Conservatoire des espaces naturels de Savoie

Données calculées chaque année à partir de la couche occupation du sol à grande échelle de la Régie de gestion des données Savoie Mont Blanc 

La progression des autres milieux artificialisés profite surtout aux zones industrielles.

Source : Régie de Gestion des Données, Conservatoire des espaces naturels de Savoie

Données calculées chaque année à partir de la couche occupation du sol à grande échelle de la Régie de gestion des données Savoie Mont Blanc 

L'évolution des cultures reste marginale, de l'ordre de 0,5% en 10ans,(voir 2% en 13 ans) elle profite aux cultures annuelles au détriment des vignes et des vergers.

Source : Régie de Gestion des Données, Conservatoire des espaces naturels de Savoie

Données calculées chaque année à partir de la couche occupation du sol à grande échelle de la Régie de gestion des données Savoie Mont Blanc