La convention signée en 2020 entre les acteurs majeurs de la vallée a fait ses preuves. Elle vient donc d’être renouvelée et l’Arc n’a désormais qu’à bien se tenir : tout le monde est en ordre de bataille pour faire face à ses caprices.
Le principe de cette convention est de pouvoir intervenir en urgence sans se soucier des contraintes administratives qui jusqu’alors pouvaient retarder toute intervention. Désormais, le premier sur place se charge d’initier les travaux avant que le SPM ne prenne le relais pour le pilotage technique. La répartition des factures se fera plus tard. Cette organisation collective, unique en Europe, présente le double avantage d’être réactive et efficace et de garantir ainsi une intervention rapide avant que les éventuels dégâts ne s’accumulent et/ou que des infrastructures ou habitations ne soient endommagées
Les principaux intervenants sont l’État, le Département, EDF, la SNCF et le SMP (Syndicat du pays de Maurienne)
Le pot commun est de 222 000€, le Département apportant 80 000 €.
Sur les photos : L’arc engorgé par les boues apportées par le torrent du Poucet